Titre : |
1001 |
Type de document : |
objet à 3 dimensions, artefacts, ... |
Auteurs : |
Andrée Pouliot, Auteur |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
A 410 jeu de langue (jeu de règles)
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Nombre minimum de joueurs : |
1 |
Nombre maximum de joueurs : |
10 |
Age minimum : |
8 |
Age maximum : |
99 |
Durée moyenne (minutes) : |
25 |
Contenu : |
Contenu: 55 images pour inventer mille et une histoire, 1 règle de jeu. Ces 55 pastels en formatcartes de jeux nous entraînent dans l'antique Arabie et dans le monde des contes des Milles et Une Nuits. C'est dans ce monde que ce situe l'histoire du puissant roi Shâriyâr, qui avait juré de ne plus jamais faire confiance à une femme et de faire tuer chaque matin sa compagne de la nuit. Afin d'échapper à ce triste sort, la courageuse Schéhérazade invente et raconte au roi une histoire dont chaque épisode en faisant naître un autre, comme pour les pelures d'un oignon. Le roi cruel en fut si fasciné qu'il décida nuit après nuit de la laisser vivre un jour entendre le conte suivant. C'est ainsi que la narratrice le força à écouter mille et une histoire et le détourna de son macabre projet. Même si on ne connaît aucune de ces histoires, chaque carte du jeu 1001 permet l'accès à ce monde de contes où l'on rencontre belles femmes et charmants jeunes gens, magnifiques palais et huttes misérables, trésors et festins, démons et bons esprits, cavalcades dans le désert et traversées sur les mers. Lorsqu'on raconte et qu'on invente il importe peu de gagner ou deperdre, rien n'est juste ou faux: il s'agit de découvrir dans notre propre imaginaire un nombre infini d'histoire. C'est ainsi que nous propageons cet art antique du récit. Les cartes nous donnent un coup de pouce, mettent des ails à notre imagination, et à chaque tour naissent de nouveaux contes jusqu'à ce que nous constations que chacun de nous a la faculté d'en raconter jusqu'à la 1001ème nuit et au-delà. Ce jeu ne viellit jamais. 1001 est un jeu associatif où la concurrence ne joue pas. Il n'ya pas de règles strictes, mais nous vous proposons ci-dessous quelques idées qui vous permettrons de jouer librement. 1)Il n'est pas nécessaire d'interpréter les cartes à la lettre. Elles peuvent être le déclencheur d'idées tout à fait différentes, comme pour les métaphores. Ainsi, un visage peut être interprété soit comme un bon esprit soit comme un esprit malin. 2) L'imagination n'a aucunelimite. Comme dans un rêve, on peut se sentir totalement libre au niveau du temps et de l'espace. 3)L'histoire ne doit pas néccessairement être compliquée. Les joueurs participeront d'autant mieux que personne n'essaie de les influencer. 4) Il ne faut pas ré-interpréter la description ou l'interprétation que donne un joueur. "Juste" ou "faux" sont des concepts qui ne font qu'entraver l'imagination. Personne ne perd, tout le monde gagne. 4) Il est plus facile d'élaborer une histoire comme , une idée ou un conte si on ne réfléchit pas trop longtemps à la carte tirée mais qu'on parle spontaneiment. Le plus facile est d'enoncer la première idée qui nous vient quand on découvre la carte. 5) Tous les personnages de 1001 peuvent avoir des dens magiques, se tranformer, devenir invisibles, renaître, être protègés par une main magique etc. 6) Si on ne souhaite pas jouer avec les 55 cartes, on peut en sélectionner une partie, et si une carte ne vous inspire vraiment pas, vous êtes libre d'en tirer une autre. 1001 Histoires (jusqu'à 12 joueurs): On mélange les cartes et on les étale face cachée au milieu de la table. Le premier joueur tire une carte, la dépose à découvert devant lui et commence l'histoire par une phrase. Cettepremière phrase doit être le reflet de ce que le joueur a ressenti au moment où il a découvert l'image.Exemple "Un jour une étrange rumeur circulait en ville".Ou "les vendeurs de tissu ambulants avaient monté leur campement de nuit". Le joueur suivant poursuit l'histoire en tirant une deuxième carte et en composanr une autre phrase, tout en reliant les deux images de manière créative. Il n'est pa snécessaire de répéter la phrase précédente. Le troisième joueur fait la même chose et ainsi de suite. L'histoire se construit spontanément. Elle grandit comme une plante sauvage. On peut mettre fin au récit à n'importe quel moment, soit que la fin de l'histoire coule d'emblée ou que les 55 cartes sont épuisées. Si on estime que 55 cartes sont de trop, on peut se limiter au debut à une partie du jeu, soit en en tirant une partie au hasard, soit en sélectionnant les cartes avec lequelles on désire jouer . L'enjeu est cependant la spontanéité et même 55 cartes peuvent se jouer rapidement. Cette manière de jouer convient à tout âge; elle contribue à renforcer l'esprit de groupe du fait qu'on développe sa créativité ensemble et que l'on construit quelques choses en commun. Varianyes des 1001 histoires: 1)
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1001 [objet à 3 dimensions, artefacts, ...] / Andrée Pouliot, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
A 410 jeu de langue (jeu de règles)
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Nombre minimum de joueurs : |
1 |
Nombre maximum de joueurs : |
10 |
Age minimum : |
8 |
Age maximum : |
99 |
Durée moyenne (minutes) : |
25 |
Contenu : |
Contenu: 55 images pour inventer mille et une histoire, 1 règle de jeu. Ces 55 pastels en formatcartes de jeux nous entraînent dans l'antique Arabie et dans le monde des contes des Milles et Une Nuits. C'est dans ce monde que ce situe l'histoire du puissant roi Shâriyâr, qui avait juré de ne plus jamais faire confiance à une femme et de faire tuer chaque matin sa compagne de la nuit. Afin d'échapper à ce triste sort, la courageuse Schéhérazade invente et raconte au roi une histoire dont chaque épisode en faisant naître un autre, comme pour les pelures d'un oignon. Le roi cruel en fut si fasciné qu'il décida nuit après nuit de la laisser vivre un jour entendre le conte suivant. C'est ainsi que la narratrice le força à écouter mille et une histoire et le détourna de son macabre projet. Même si on ne connaît aucune de ces histoires, chaque carte du jeu 1001 permet l'accès à ce monde de contes où l'on rencontre belles femmes et charmants jeunes gens, magnifiques palais et huttes misérables, trésors et festins, démons et bons esprits, cavalcades dans le désert et traversées sur les mers. Lorsqu'on raconte et qu'on invente il importe peu de gagner ou deperdre, rien n'est juste ou faux: il s'agit de découvrir dans notre propre imaginaire un nombre infini d'histoire. C'est ainsi que nous propageons cet art antique du récit. Les cartes nous donnent un coup de pouce, mettent des ails à notre imagination, et à chaque tour naissent de nouveaux contes jusqu'à ce que nous constations que chacun de nous a la faculté d'en raconter jusqu'à la 1001ème nuit et au-delà. Ce jeu ne viellit jamais. 1001 est un jeu associatif où la concurrence ne joue pas. Il n'ya pas de règles strictes, mais nous vous proposons ci-dessous quelques idées qui vous permettrons de jouer librement. 1)Il n'est pas nécessaire d'interpréter les cartes à la lettre. Elles peuvent être le déclencheur d'idées tout à fait différentes, comme pour les métaphores. Ainsi, un visage peut être interprété soit comme un bon esprit soit comme un esprit malin. 2) L'imagination n'a aucunelimite. Comme dans un rêve, on peut se sentir totalement libre au niveau du temps et de l'espace. 3)L'histoire ne doit pas néccessairement être compliquée. Les joueurs participeront d'autant mieux que personne n'essaie de les influencer. 4) Il ne faut pas ré-interpréter la description ou l'interprétation que donne un joueur. "Juste" ou "faux" sont des concepts qui ne font qu'entraver l'imagination. Personne ne perd, tout le monde gagne. 4) Il est plus facile d'élaborer une histoire comme , une idée ou un conte si on ne réfléchit pas trop longtemps à la carte tirée mais qu'on parle spontaneiment. Le plus facile est d'enoncer la première idée qui nous vient quand on découvre la carte. 5) Tous les personnages de 1001 peuvent avoir des dens magiques, se tranformer, devenir invisibles, renaître, être protègés par une main magique etc. 6) Si on ne souhaite pas jouer avec les 55 cartes, on peut en sélectionner une partie, et si une carte ne vous inspire vraiment pas, vous êtes libre d'en tirer une autre. 1001 Histoires (jusqu'à 12 joueurs): On mélange les cartes et on les étale face cachée au milieu de la table. Le premier joueur tire une carte, la dépose à découvert devant lui et commence l'histoire par une phrase. Cettepremière phrase doit être le reflet de ce que le joueur a ressenti au moment où il a découvert l'image.Exemple "Un jour une étrange rumeur circulait en ville".Ou "les vendeurs de tissu ambulants avaient monté leur campement de nuit". Le joueur suivant poursuit l'histoire en tirant une deuxième carte et en composanr une autre phrase, tout en reliant les deux images de manière créative. Il n'est pa snécessaire de répéter la phrase précédente. Le troisième joueur fait la même chose et ainsi de suite. L'histoire se construit spontanément. Elle grandit comme une plante sauvage. On peut mettre fin au récit à n'importe quel moment, soit que la fin de l'histoire coule d'emblée ou que les 55 cartes sont épuisées. Si on estime que 55 cartes sont de trop, on peut se limiter au debut à une partie du jeu, soit en en tirant une partie au hasard, soit en sélectionnant les cartes avec lequelles on désire jouer . L'enjeu est cependant la spontanéité et même 55 cartes peuvent se jouer rapidement. Cette manière de jouer convient à tout âge; elle contribue à renforcer l'esprit de groupe du fait qu'on développe sa créativité ensemble et que l'on construit quelques choses en commun. Varianyes des 1001 histoires: 1)
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